lĂ©picentre est la projection Ă  la surface de la Terre de l’hypocentre. En d’autre termes, le foyer d’un sĂ©isme est situĂ© Ă  z kilomĂštres de profondeur Ă  l’aplomb de l’épicentre. C’est quoi l’épicentre d’un sĂ©isme ? Ă©picentre. Point de la surface terrestre oĂč un sĂ©isme a Ă©tĂ© le plus intense. (Il est situĂ© au Le Bardarbunga, l'un des plus grands volcans d'Islande, a Ă©tĂ© secouĂ© mardi par un sĂ©isme de magnitude 5, 14h14Le volcan Bardarbunga menace d'entrer en volcan islandais Bardarbunga a Ă©tĂ© secouĂ© mardi par un sĂ©isme de magnitude 5,7, le plus puissant depuis qu'il est entrĂ© en activitĂ© le 16 aoĂ»t, montrant qu'une Ă©ruption restait toujours Bardarbunga, immense volcan situĂ© sous le plus grand glacier du pays, est considĂ©rĂ© comme assez dangereux pour menacer, s'il entre en Ă©ruption, le trafic aĂ©rien dans le nord de l'Europe et l'Atlantique-Nord, comme l'Eyjafjallajökull en sĂ©isme, enregistrĂ© par l'institut mĂ©tĂ©orologique islandais, est le plus violent dans la rĂ©gion depuis orangeLe niveau d'alerte pour l'aviation en Islande reste Ă  orange» depuis dimanche. Samedi, il avait Ă©tĂ© Ă©levĂ© un cran au-dessus, Ă  rouge», le niveau maximal, car les scientifiques soupçonnaient une Ă©ruption. Tous les aĂ©roports du pays Ă©taient restĂ©s sismique reste intense dans la rĂ©gion, la terre ayant tremblĂ© plus de 20 fois par heure mardi ultĂ©rieure du volcan reste impossible Ă  prĂ©dire, cette activitĂ© pouvant durer de longues semaines, s'arrĂȘter ou dĂ©boucher sur une Ă©ruption, petite ou article a Ă©tĂ© automatiquement importĂ© de notre ancien systĂšme de gestion de contenu vers notre nouveau site web. Il est possible qu'il comporte quelques erreurs de mise en page. Veuillez nous signaler toute erreur Ă  community-feedback Nous vous remercions de votre comprĂ©hension et votre collaboration.
UnsĂ©isme de magnitude 3,9 a rĂ©veillĂ© Strasbourg dans l'est de la France ce samedi 26 juin Ă  5 h, plusieurs mois aprĂšs l'arrĂȘt d'un projet de gĂ©othermie prĂšs de la ville qui avait lui

POINT OU UN SEISME A ETE LE PLUS INTENSE - Mots-FlĂ©chĂ©s & Mots-CroisĂ©s Recherche - DĂ©finition Recherche - Solution La meilleure solution pour POINT OU UN SEISME A ETE LE PLUS INTENSE Solution DĂ©finition EPICENTREPOINT OU UN SEISME A ETE LE PLUS INTENSE EN 9 LETTRES Solution DĂ©finition EXTREMEINTENSEPERILLEUX INTENSEPERILLEUX, INTENSEQUI EST TOUT AU BOUT OU AU PLUS HAUT POINTCANICULEVAGUE INTENSE DE CHALEURSAISONETEETE OU HIVERSINISTREPOINT GAISEISMEVIFINTENSEPOINT SENSIBLEEXTASEFELICITE AU PLUS HAUT POINTPLAISIR INTENSE, HORS DU MONDEMODEREPEU INTENSECRUPOINT CUITPOINT NOBLEQUI N'A PAS ETE SAISIECLAIRLUMIERE INTENSE ET BREVEESSOREETE A L'EAUSUR LE POINT D'ETRE PENDUESTA ETE TOUT D'UN BLOCIL S'ECLAIRE TOT EN ETEIL S'ECLAIRE TRES TOT EN ETELE PREMIER POINT ECLAIRCILE PREMIER POINT QU'ON REUSSIT A VOIRETJAMAIS SUIVI D'UN POINTLUI, PAR CONTRE, A BIEN ETE UNE VEDETTE DE CINEMAPOINT DE JONCTIONUN ETE SANS FINISCENTRE DU SEISMENEARRIVE APRES AVOIR ETE ATTENDUAVANT POINTEXPULSE AVANT MEME D'AVOIR ETE DECLAREON MET LE POINT APRESPOINT DE BOUSSOLEREPOINT SUR L'ATLANTIQUESA COTE EST FREQUENTE L'ETEUN POINT SUR L'ATLANTIQUEROIN'EST POINT BRILLANT QUAND IL EST MATSECARIDE EST UN TEL ETEON ESPERE QUE L'ETE LE SERAPOINT HUMIDEQUI N'A PAS ETE ATTEINT PAR LA GOUTTESOLSTICEAU DEBUT DE L'ETECELUI D'ETE A LIEU AUX ENVIRONS DU 21 JUINDEBUT DE L'ETE OU DE L'HIVERPOINT ECLIPTIQUE DU SOLEILUN POINT SOLAIRETSARIL A ETE DEPOSE EN RUSSIETUN'A PAS ETE ENTENDUN'A PAS ETE TRAHIPOINT ANNONCEPOINT EBRUITEPOINT NOMMEJe propose une nouvelle solution ! Compte-rendu de la recherche pour POINT OU UN SEISME A ETE LE PLUS INTENSE Lors de la rĂ©solution d'une grille de mots-flĂ©chĂ©s, la dĂ©finition POINT OU UN SEISME A ETE LE PLUS INTENSE a Ă©tĂ© rencontrĂ©e. Qu'elles peuvent ĂȘtre les solutions possibles ? Un total de 21 rĂ©sultats a Ă©tĂ© affichĂ©. Les rĂ©ponses sont rĂ©parties de la façon suivante 1 solutions exactes 0 synonymes 20 solutions partiellement exactes

SĂ©curitĂ© Le sĂ©isme induit est une contrainte gĂ©otechnique Ă  prendre en compte ;. pour tous les amĂ©nagements faits en zone Ă  risque, mĂȘme et peut-ĂȘtre surtout dans des rĂ©gions ayant une activitĂ© sismique modĂ©rĂ©e, car les normes anti-sismique n’y sont pas appliquĂ©es comme elles le seraient dans une zone connue pour son risque; pour la construction et entretien
I LES SEISMES A Principe des sĂ©ismes 1 Quelle est l’origine des sĂ©ismes ? La Terre est une planĂšte tellurique, planĂšte essentiellement rocheuse avec un noyau mĂ©tallique, constituĂ©e de trois sphĂšres emboitĂ©es les unes dans les autres. Au centre se trouve le noyau terrestre d’environ 3400 km de rayon. Il est recouvert d’une couche d’épaisseur environ 2900 km appelĂ©e manteau. Celui-ci se trouve dans un Ă©tat ductile en profondeur et dans un Ă©tat plus solide Ă  une plus grande distance du noyau puisque plus on s’éloigne du noyau plus la tempĂ©rature diminue or plus la tempĂ©rature est basse plus les roches sont solides. Enfin la derniĂšre enveloppe est la croĂ»te terrestre, la moins Ă©paisse du globe terrestre, composĂ©e de croĂ»te ocĂ©anique qui forme le plancher de l’ocĂ©an et qui est Ă©paisse d’environ 5 km ainsi que de croĂ»te continentale de densitĂ© plus Ă©levĂ©e qui constitue les continents et qui est d’une Ă©paisseur d’environ 30 km Ă  70km. La partie superficielle du globe rĂ©unissant la croĂ»te et la partie supĂ©rieure du manteau qui est dans un Ă©tat ductile est appelĂ©e lithosphĂšre et est d’une Ă©paisseur d’environ 100km. Elle est divisĂ©e en plaques, les plaques lithosphĂ©riques ou plaques tectoniques, qui portent les continents. Celles-ci se dĂ©placent les unes par rapport aux autres Ă  une vitesse allant de quelques mm Ă  quelques cm par an selon les plaques. Ces dĂ©placements sont principalement dus aux courants de convection, courants chauds internes qui remontent vers la surface, se refroidissent puis redescendent pour se rĂ©chauffer Ă  nouveau, qui provoquent naturellement des poussĂ©es sur les plaques lithosphĂ©riques. Principalement Ă  cause de ces courants de convection, ces plaques sont en perpĂ©tuel mouvement. Ainsi, certaines plaques se rapprochent convergence ou s’éloignent divergence. En cas de convergence, les plaques peuvent coulisser les unes sur les autres ex plaque eurasienne et plaque anatolienne ou entrent en collision ex plaque indienne et plaque eurasienne. Elles peuvent aussi, lorsque les deux plaques sont de densitĂ©s diffĂ©rentes – en gĂ©nĂ©ral une plaque ocĂ©anique dense et une plaque continentale- se recouvrir, la plaque la plus dense plongeant sous l’autre c’est le phĂ©nomĂšne dit de subduction. Il est particuliĂšrement intense au Japon, placĂ© au point de rencontre de 4 grandes plaques tectoniques, les plaques pacifique, philippine, nord-amĂ©ricaine et eurasienne, la premiĂšre, qui se dĂ©place vers l’ouest, plongeant sous les 3 autres. Des failles, zones gigantesques oĂč la continuitĂ© des roches est rompue sur une centaine de kms, se situent Ă  l’interface entre plaques. Dans le cas de la subduction, on observe aussi localement des fosses ocĂ©aniques, dites fosses de subduction. La zone initiale de rupture est appelĂ©e foyer du sĂ©isme. Elle est gĂ©nĂ©ralement situĂ©e Ă  une profondeur allant de 0 Ă  70 km. Dans certaines zones comme les zones de subduction on peut observer des sĂ©ismes profonds, jusqu’à 700 km, au-delĂ  la matiĂšre Ă©tant trop ductile pour qu’il y ait des frottements donc des sĂ©ismes. De façon gĂ©nĂ©rale, lorsque la profondeur dĂ©passe certaines valeurs, les conditions de forte pression et de forte tempĂ©rature empĂȘchent les frottements et la rupture des roches. Comme le jet d’une pierre dans l’eau, la rupture locale des roches donne naissance Ă  partir du foyer Ă  des vibrations mĂ©caniques sous forme d’ondes dites ondes sismiques, ondes qui vont se propager Ă  grande distance tout en s’attĂ©nuant. Les ondes sismiques se propagent alors dans toutes les directions et, lorsqu’elles atteignent le sol, elles le mettent en mouvement de façon vibratoire gĂ©nĂ©rant alors bruit et dĂ©gĂąts. L'endroit Ă  la surface de la terre oĂč le sĂ©isme est ressenti de la façon la plus intense, situĂ© Ă  la verticale du foyer, s’appelle l'Ă©picentre. Plus le foyer est proche de la surface de la terre plus les secousses sont fortes Ă  l’épicentre mais moins elles s’étendent gĂ©ographiquement. SchĂ©ma rĂ©capitulatif les ondes sismiques se propagent Ă  partir du foyer situĂ© au niveau de la faille. D’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, plus les constructions sont proches du foyer ou de l’épicentre, plus elles sont endommagĂ©es car les ondes s’attĂ©nues avec la distance. B/ Les ondes sismiques Une bonne comprĂ©hension des phĂ©nomĂšnes vibratoires associĂ©s aux sĂ©ismes a Ă©tĂ© nĂ©cessaire Ă  la fois pour associer le tremblement de terre au sĂ©isme lui ayant donnĂ© naissance localisation du foyer, nature et amplitude du sĂ©isme et pour analyser et comprendre les effets observĂ©s au sol notamment comprendre comment varient les dĂ©placements du sol en fonction de la localisation par rapport Ă  l’épicentre et au foyer. Il a fallu se doter d’instruments spĂ©cifiques et dĂ©velopper les thĂ©ories permettant de rendre cohĂ©rentes les mesures, de remonter au phĂ©nomĂšne Ă  l’origine du sĂ©isme et de le caractĂ©riser de façon scientifique. 1 Mesure des ondes sismiques les sismographes Des appareils spĂ©cifiques, les sismographes, ont Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©s pour enregistrer de façon prĂ©cise les vibrations observĂ©es en cas de sĂ©isme. Dans les premiers appareils, une masse suspendue Ă  un ressort, mise en vibration par le sĂ©isme, dĂ©place un stylet qui vient Ă©crire sur un tambour rotatif/papier dĂ©roulant, enregistrant ainsi ses dĂ©placements au cours du temps sous forme de sismogrammes. En effet, la masse tend Ă  rester en place en raison de son inertie alors que le bĂąti de l'appareil, fixĂ© au sol, en accompagne les mouvements. L'existence d'ondes fait alors osciller le ressort. Le tracĂ© obtenu est un sismogramme. A partir du dĂ©but du 20Ăšme siĂšcle, les sismographes ont fait appel Ă  des capteurs Ă©lectromagnĂ©tiques une masse aimantĂ©e se dĂ©plaçant donne naissance Ă  un courant qui est enregistrĂ©. Depuis la fin du 20Ăšme siĂšcle, les signaux des sĂ©ismes ainsi recueillis sont convertis au moyen de convertisseurs numĂ©riques pour permettre de les traiter et les stocker plus facilement. Les stations sismiques, stations de mesure, disposent de plusieurs sismographes leur permettant de recueillir avec prĂ©cision les signaux des sĂ©ismes qu’ils soient d’amplitude faible ou forte, qu’ils soient proches ou lointains. En effet, les dĂ©placements du sol observĂ©s vont de quelques nanomĂštres Ă  quelques centimĂštres ou plus et les frĂ©quences du centiĂšme d’Hz Ă  une dizaine d’Hz. Ils nĂ©cessitent donc plusieurs Ă©quipements chacun adaptĂ© Ă  une gamme de frĂ©quence et d’amplitude. 1 Les diffĂ©rents types d’ondes sismiques Un choc brutal au foyer s’accompagne nĂ©cessairement d’ondes complexes les ondes directement produites qui se propagent en milieu solide dans toutes les directions Ă  partir du foyer et les perturbations qui apparaissent en raison de la discontinuitĂ© existant Ă  l’interface solide/gaz ou solide/liquide. On distingue deux types d'ondes les ondes de volume ou ondes mĂ©caniques qui traversent la terre Ă  partir du foyer et les ondes de surface qui se propagent parallĂšlement Ă  la surface. Parmi les ondes de volume, il existe deux types d’ondes les ondes S et les ondes P. Parmi les ondes de surface on parle d'ondes de Love ou ondes L et d'ondes de Rayleigh. a Les ondes de volume Les ondes de volume s’analysent relativement aisĂ©ment dans le cadre de la mĂ©canique vibratoire classique. En pratique il s’agit d’une approximation puisque les zones rocheuses traversĂ©es ne sont pas homogĂšnes. De plus les ondes, comme la lumiĂšre, peuvent ĂȘtre rĂ©fractĂ©es ou rĂ©flĂ©chies lorsqu’elles rencontrent des milieux diffĂ©rents. Les vitesses de propagation sont diffĂ©rentes suivant la nature des roches qu'elles traversent, la densitĂ© des roches plus la densitĂ© est grande plus la vitesse augmente et la rigiditĂ© des roches plus la rigiditĂ© est grande plus la vitesse est Ă©levĂ©e car si les roches que l’onde traverse ne sont pas rigides, celle-ci va dĂ©penser de l’énergie pour les faire bouger. Elles augmentent principalement avec la profondeur, du fait que la densitĂ© du sol va croissant au fur et Ă  mesure que l'on se rapproche du noyau. L’analyse est donc complexe et n’a pu acquĂ©rir une bonne prĂ©cision que lorsque des moyens de calcul numĂ©rique importants ont pu ĂȘtre utilisĂ©s. Le milieu dans lequel se propagent les ondes Ă©tant solide, deux types d’onde s’y dĂ©veloppent des ondes associĂ©es Ă  une variation de densitĂ© locale ou ondes P analogues aux ondes sonores se propageant dans l’air et des ondes associĂ©es aux cisaillements de la matiĂšre ou ondes S ondes absentes dans l’air ou dans l’eau. ① Les ondes P Les ondes P, pour ondes primaires on les appelle aussi ondes de compression ou onde longitudinales, sont les ondes qui arrivent le plus rapidement. Leur vitesse peut-atteindre 6 km/s prĂšs de la surface. Leurs mouvements sont parallĂšles Ă  la direction de propagation de l'onde. On peut les dĂ©crire comme une succession de compression et de dilatation elles ne sont de ce fait pas les plus destructrices. En revanche elles peuvent alerter » de l'arrivĂ©e des secousses liĂ©es au sĂ©isme, Ă©tant responsables du grondement que l'on entend juste avant le tremblement de la terre hĂ©las peu avant !. ② Les ondes S Les ondes S ou ondes secondaires on les nomme Ă©galement ondes transversale ou onde de cisaillement sont le deuxiĂšme type d'onde enregistrĂ© par le sismographe ; leur vitesse est plus lente de 2 Ă  3 fois ou plus que celle des ondes P, elles arrivent souvent quelques secondes ou plus aprĂšs celles-ci. De plus elles ne se propagent pas dans les milieux liquides mais seulement dans les milieux solides car ces derniers offrent une rĂ©sistance au cisaillement. Contrairement aux ondes de compression, elles sont destructrices, leurs mouvements consistant en des cisaillements perpendiculaires au sens de propagation de l'onde. L’impact de ces ondes P et S dĂ©pend de la force du sĂ©isme et de la localisation du foyer ainsi que du trajet complexe qu'elles vont effectuer dans les diffĂ©rents milieux qu'elles vont traverser. a Les ondes de surface Les ondes de surfaces sont la consĂ©quence de l’interaction des ondes S avec le sol et avec les interfaces du sous-sol, par combinaison complexe des diverses ondes incidentes et rĂ©flĂ©chies. Ces ondes se crĂ©ent lors de la rĂ©flexion des ondes de volume sur la surface de la Terre. Elles sont moins rapides que les ondes de volume mais leur amplitude, qui dĂ©croit en proportion de la distance, est presque toujours plus importante les ondes de volume voient leur amplitude dĂ©croitre comme le carrĂ© de la distance. De ce fait, leur impact sur les constructions est beaucoup plus fort et on peut les enregistrer Ă  une trĂšs grande distance de l’épicentre. On peut distinguer deux sortes d’ondes de surface les ondes de Love L, rĂ©sultat de l’interaction entre les ondes P et la composante horizontale de l’onde S, et les ondes de Rayleigh, rĂ©sultat de l’interaction entre les ondes P et la composante verticale de l’onde S. ❶ Les ondes de Love Les ondes de Love sont semblables aux ondes S mais on ne retrouve pas une des caractĂ©ristiques de mouvement de ondes S pour les ondes de Love le mouvement est parallĂšle au sol mais n'est pas parallĂšle Ă  la direction de l’onde, en revanche comme pour les ondes S le mouvement des ondes L est une succession de compressions et de dilatations. Les ondes de Love se propagent plus lentement que les ondes S environ 2 km/s et provoquent souvent un fort mouvement des sols, supĂ©rieur de plusieurs fois Ă  celui des ondes de volume les consĂ©quences sur les constructions sont donc beaucoup plus importantes que pour les autres ondes. ❷ Les ondes de Rayleigh Pour les ondes de Rayleigh, les mouvements sont complexes, Ă  la fois parallĂšle et perpendiculaire au sol et Ă  la direction de propagation. Elles se propagent un peu moins vite que les ondes de Love et peuvent avoir des amplitudes voisines. Elles ont donc un rĂŽle plus destructeur que les ondes de volume. C/ La force des sĂ©ismes les notions de magnitude et d’intensitĂ© La force d’un sĂ©isme du sĂ©isme peut ĂȘtre mesurĂ©e au moyen de deux Ă©chelles - une Ă©chelle absolue » dite Ă©chelle de Richter exprime la magnitude, c’est-Ă -dire la quantitĂ© d’énergie libĂ©rĂ©e lors d’un sĂ©isme. Elle est donc directement liĂ©e Ă  l’énergie mise en jeu lors du sĂ©isme, indĂ©pendamment du lieu d’observation... - une Ă©chelle subjective » Ă©chelle de Mercalli qui est liĂ©e au degrĂ© de destruction observĂ© en un point donnĂ© Ă  la surface terrestre. Cette Ă©chelle a un intĂ©rĂȘt pratique Ă©vident si nous nous intĂ©ressons aux seuls effets destructeurs du sĂ©isme. 1 Magnitude des sĂ©ismes Charles Richter a dĂ©veloppĂ© en 1935 une mĂ©thode pour classer objectivement » les sĂ©ismes indĂ©pendamment du point d’observation. Cette mĂ©thode est basĂ©e sur l’analyse des amplitudes mesurĂ©es par des sismographes identiques ou calibrĂ©s spĂ©cifiquement. Elle a Ă©tĂ© ensuite complĂ©tĂ©e et amĂ©liorĂ©e pour permettre de couvrir les sĂ©ismes des plus faibles aux plus intenses. En pratique, les sĂ©ismes de magnitude infĂ©rieure Ă  3 ne sont pas ressentis sauf par les sismographes. Les tremblements de terre les plus forts peuvent atteindre une magnitude de 9 figure. Ils correspondent Ă  des fissurations sur plus de 1000km, alors qu’un sĂ©isme de magnitude 4 correspond par exemple Ă  un glissement de l’ordre du cm sur une longueur d’1km. L’échelle des magnitudes est logarithmique Ă  base 10 c’est-Ă -dire que pour un sĂ©isme d’une magnitude d’une unitĂ© supĂ©rieure, l’énergie libĂ©rĂ©e est 10 fois plus grande que celui du sĂ©isme d’une magnitude d’une unitĂ© infĂ©rieure. Un sĂ©isme de magnitude 6 n’est donc pas deux fois plus fort qu’un de magnitude 3 mais 103=1000 fois plus ! L’énergie mise en jeu dans les sĂ©ismes est comparable ou dĂ©passe la puissance d’une bombe nuclĂ©aire et engendre donc des dommages colossaux sur les grandes surfaces. 2 L’intensitĂ© des sĂ©ismes A la diffĂ©rence de la magnitude qui est calculĂ©e Ă  partir de mesures expĂ©rimentales, l’intensitĂ© est une notion subjective associĂ©e aux perceptions humaines et aux dĂ©gĂąts constatĂ©s. Moins scientifique », la notion d’intensitĂ© a cependant un intĂ©rĂȘt pratique considĂ©rable et est trĂšs largement utilisĂ©e pour dĂ©crire simplement les tremblements de terre et communiquer avec les populations. Au cours du temps, plusieurs Ă©chelles ont Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©es suivant les rĂ©gions et les Ă©poques l’échelle de Rossi-Forel et l’échelle de Mercalli Ă  la fin du 19Ăšme siĂšcle, l’échelle MSK Ă  partir de 1964, en Europe remplacĂ©e en 1998 par l’échelle macrosismique europĂ©enne EMS98, toutes graduĂ©es de 1 Ă  12 et l’échelle Shindo » au Japon graduĂ©e de 1 Ă  7. A titre d’exemple, on prĂ©sente ci-dessous l’échelle de Mercalli qui compte douze degrĂ©s exprimĂ©s en chiffres romains et on relie approximativement l’intensitĂ© Ă  l’épicentre et la magnitude. Il est important de noter qu’en pratique c’est l’association d’une magnitude forte et d’une zone peuplĂ©e Ă  l’épicentre ou Ă  proximitĂ© qui dĂ©termine le caractĂšre destructeur d’un sĂ©isme un sĂ©isme mĂȘme de trĂšs forte magnitude pourra ĂȘtre relativement peut destructeur s’il se produit dans une vaste zone inhabitĂ©e. A la diffĂ©rence de la magnitude qui est associĂ©e de façon unique Ă  un sĂ©isme, l’intensitĂ© varie suivant le lieu d’observation. Elle est maximum Ă  l’épicentre et dĂ©croit assez rapidement lorsqu’on s’en Ă©loigne, seuls les plus grands sĂ©ismes Ă©tant ressentis sur des distances dĂ©passant les 1000 km. Au Japon, lors d’un sĂ©isme, l’Agence de MĂ©tĂ©orologie diffuse quasi instantanĂ©ment les cartes donnant les valeurs d’intensitĂ© shindo » dans les diffĂ©rentes rĂ©gions, cartes reprises par l’ensemble des chaĂźnes de tĂ©lĂ©vision. L’échelle d’intensitĂ© est en effet corrĂ©lĂ©e avec les accĂ©lĂ©rations relevĂ©es au sol ce qui permet une automatisation complĂšte du processus. D La durĂ©e des sĂ©ismes La durĂ©e des sĂ©ismes est trĂšs variable suivant sa profondeur et la taille des failles mises en jeu. Elle est couramment de l’ordre de quelques dizaines de seconde, temps qui paraĂźt interminable aux personnes exposĂ©es qui se sentent un instant complĂ©tement dĂ©sarmĂ©es. Cette durĂ©e rĂ©sulte d’une combinaison complexe des diffĂ©rentes durĂ©es de propagation des ondes sismiques et de la durĂ©e nĂ©cessaire Ă  la propagation des fissures au niveau de la faille. - DurĂ©e de propagation des ondes plus la profondeur est grande, plus la durĂ©e est longue, puisque la diffĂ©rence de temps de parcours entre les ondes les plus lentes ondes de surface, 2 Ă  4 km/s et les plus rapides ondes P, jusqu’à 6 km/s prĂšs de la surface augmente. Pour un foyer profond, les diffĂ©rences des temps de propogation peuvent donc atteindre des dizaines de seconde. De plus, l’existence de rĂ©flexions ou de rĂ©sonance des sols contribuent encore Ă  allonger cette durĂ©e. Ex foyer situĂ© Ă  30 km de profondeur. Vitesse ondes P environ 6km/s Vitesse ondes S enviro 3,5km/s DĂ©part des ondes du foyer 12h00min00s. ArrivĂ©e des ondes P 12h00min00s+30/6= 12h00min5s. ArrivĂ©e des ondes S 12h00min00s+30/3,5= 12h00min09s Les ondes de surface arrivent plus tard puisque leur vitesse de propagation est plus faible ce qui rajoute encore plusieurs secondes. Ici, la durĂ©e liĂ©e aux diffĂ©rences de vitesse de propagation est de l'ordre de 10 secondes. - DurĂ©e de propagation de la faille plus la faille Ă  l’origine du sĂ©isme est grande, plus la durĂ©e augmente ; la vitesse de propagation de rupture Ă©tant de l’ordre de 3 km/sec, le temps peut atteindre aussi quelques dizaines de secondes dans le cas de trĂšs grands sĂ©ismes. S’ajoutent Ă  ces durĂ©es, celle des rĂ©pliques ruptures secondaires donnant naissance Ă  de nouveaux sĂ©ismes qui peuvent survenir dans les minutes ou les heures qui suivent. Pour une faille de 100 km, la durĂ©e nĂ©cessaire Ă  la rupture est de l'ordre de 30 secondes 100km divisĂ© par 3 km/sec. La durĂ©e totale dans cet exemple est d'environ 40 secondes, ce qui est trĂšs long. UnsĂ©isme de magnitude 6,8 a frappĂ© ce mercredi la Birmanie. Les autoritĂ©s locales font Ă©tat de trois personnes tuĂ©es, alors que plusieurs pagodes cĂ©lĂšbres ont Ă©tĂ© abĂźmĂ©es par les Les sĂ©ismes de magnitude supĂ©rieure ou Ă©gale Ă  5 sont exceptionnels dans l'hexagone. Le Bureau central sismologique français nous rappelle quelles sont les zones sismiques en France, quels ont Ă©tĂ© les sĂ©ismes plus intenses et malheureusement, les plus vous intĂ©ressera aussiRares sont les sĂ©ismes qui, en France mĂ©tropolitaine, ont une magnitude Ă©gale ou supĂ©rieure Ă  5, et il faut remonter Ă  2003 pour trouver un tremblement de terre Ă©quivalent Ă  celui qui a touchĂ© le sud-est lundi. Quelque 600 sĂ©ismes se produisent en France tous les ans, mais seulement 10 Ă  15 sont ressentis par la population. L'Alsace, le Midi-PyrĂ©nĂ©es, le littoral mĂ©diterranĂ©en et les Alpes sont les rĂ©gions les plus frĂ©quemment les donnĂ©es du Bureau central sismologique français BCSF, on n'avait pas constatĂ© de sĂ©isme aussi fort que celui survenu lundi depuis 2003 en France continentale. Une secousse Ă©galement mesurĂ©e Ă  5,4 sur l'Ă©chelle de Richter s'Ă©tait alors produite dans les Vosges. En 2011, un sĂ©isme plus fort, de magnitude 5,5, avait Ă©tĂ© enregistrĂ© mais son Ă©picentre se situait en mer, Ă  100 km au large d'Ajaccio. La zone de MontĂ©limar DrĂŽme, oĂč la secousse a fait quatre blessĂ©s, dont un grave, est caractĂ©risĂ©e par une sismicitĂ© modĂ©rĂ©e Ă  faible ..., les sĂ©ismes dans cette rĂ©gion-lĂ  dĂ©passent rarement la magnitude 5 », a indiquĂ© Ă  l'AFP Mustapha Meghraoui, physicien Ă  l'Institut de physique du globe de sont les zones sismiques en France ? Le zonage sismique français, entrĂ© en vigueur en 2011, dessine en mĂ©tropole quatre zones de risque sismique, du risque trĂšs faible » au risque moyen ». La zone d'intensitĂ© la plus forte se situe le long des PyrĂ©nĂ©es, dans certaines rĂ©gions des Alpes et dans la rĂ©gion de ensuite classĂ©es dans la zone d'intensitĂ© modĂ©rĂ©e » une large bande longeant les frontiĂšres de l'est de la France, du Bas-Rhin au Gard et aux Alpes-Maritimes, une autre longeant le nord des PyrĂ©nĂ©es et, Ă  l'ouest, une troisiĂšme, englobant la VendĂ©e et les Deux-SĂšvres, qui s'Ă©tale de la Loire-Atlantique Ă  la Vienne, la Charente et la Charente-Maritime. Deux autres zones, plus ponctuelles, couvrent une partie des dĂ©partements du Puy-de-DĂŽme et du Nord. La cinquiĂšme zone, zone de sismicitĂ© forte », ne concerne que les Ăźles de Antilles Guadeloupe, Martinique, Saint-Martin, tandis que Mayotte est classĂ©e en zone modĂ©rĂ©e ».Quels ont Ă©tĂ© les sĂ©ismes plus intenses ?Depuis 1967, seuls 10 sĂ©ismes d'intensitĂ© supĂ©rieure Ă  5 ont Ă©tĂ© ressentis en mĂ©tropole, selon le BCSF. Le dernier en date, d'une intensitĂ© de 5,2, avait Ă©tĂ© ressenti dans la rĂ©gion de Barcelonette Alpes-de-Haute-Provence le 7 avril 2014. Deux autres secousses plus rĂ©centes, dans le Maine-et-Loire en juin dernier et en Charente-Maritime en 2016, avaient initialement Ă©tĂ© annoncĂ©es avec une intensitĂ© de 5,2, mais le BCSF a finalement retenu des magnitudes de 4,8 et 4,9 respectivement. Le plus intense depuis 1967, d'une magnitude de 5,6, s'est produit Ă  Perpignan le 18 fĂ©vrier dernier sĂ©isme meurtrier, d'une magnitude estimĂ©e Ă  5,1, s'est produit Ă  Arette PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques le 13 aoĂ»t 1967, faisant un mort et plusieurs blessĂ©s et dĂ©truisant 340 maisons. Il y a plus d'un siĂšcle, en juin 1909, un tremblement de terre avait causĂ© la mort de 50 personnes dans la rĂ©gion de Salon-de-Provence Bouches-du-RhĂŽne.IntĂ©ressĂ© par ce que vous venez de lire ?
\n \n point ou un seisme a ete le plus intense
Aujourdhui, deuxiĂšme Ă©dition sur le tremblement de terre de 2010 qui a marquĂ© durablement le pays. C’est pendant que la plupart des Chiliens dormait ou fĂȘtait les derniers jours de l Derniers sĂ©ismes au monde pendant les derniĂšres 24 heures, dimanche, le 28 aoĂ»t 2022 - liste complĂšte, carte, statistiques Mise Ă  jour 28 aoĂ»t. 2022 1515 GMT - Refresh Voir la listeSĂ©ismes pendant les derniĂšres 24 heures5 sĂ©ismes de magnitude 5 ou plus29 sĂ©ismes de magnitude entre 4 et 5115 sĂ©ismes de magnitude entre 3 et 4235 sĂ©ismes de magnitude entre 2 et 3440 sĂ©ismes de magnitude infĂ©rieure Ă  2Pendant les derniĂšres 24 heures il y a eu 5 sĂ©ismes de magnitude ou supĂ©rieure, 29 sĂ©ismes de magnitude 4+, 115 sĂ©ismes de magnitude 3+ et 235 sĂ©ismes de magnitude 2+. Il y a eu aussi 440 sĂ©ismes petits infĂ©rieurs de magnitude que les gens ne peuvent normalement pas ressentir. Un tremblement de terre fort magnitude s'est produit en OcĂ©an Pacifique Nord, Japon, il y a 14 sĂ©isme Mag. Mer de Tasman, 177 km NO de Wellington, Nouvelle-ZĂ©lande - SĂ©isme le plus fort aujourd'hui Mag. OcĂ©an Pacifique Nord, Japon - Derniers 7 jours Mag. le mardi, 23 aoĂ»t 2022 2131 GMT +7 – OcĂ©an Indien, 179 km SE de Bengkulu, IndonĂ©sieDerniers 30 jours Mag. le lundi, 15 aoĂ»t 2022 0144 GMT +12 – South Pacific Ocean, Nouvelle-ZĂ©landeDerniers 90 jours Mag. le mercredi, 27 juil. 2022 0843 GMT +8 – RĂ©gion administrative de la CordillĂšre, 41 km E de Vigan, Philippines365 derniers jours Mag. le dimanche, 28 nov. 2021 0552 GMT -5 – 43 km NO de Barranca, Datem del Marañon, RĂ©gion de Loreto, PĂ©rouSĂ©ismes rĂ©cents au-dessus de la magnitude au monde mis Ă  jour DerniĂšres 24 heures149 sĂ©ismes 115 sĂ©ismes M3+ 29 sĂ©ismes M4+ 5 sĂ©ismes M5+Derniers 7 jours982 sĂ©ismes 764 sĂ©ismes M3+ 196 sĂ©ismes M4+ 21 sĂ©ismes M5+ 1 sĂ©isme M6+Derniers 30 jours4,482 sĂ©ismes 3,381 sĂ©ismes M3+ 962 sĂ©ismes M4+ 136 sĂ©ismes M5+ 3 sĂ©ismes M6+Derniers 90 jours14,524 sĂ©ismes 10,609 sĂ©ismes M3+ 3,514 sĂ©ismes M4+ 383 sĂ©ismes M5+ 17 sĂ©ismes M6+ 1 sĂ©isme M7+365 derniers jours62,138 sĂ©ismes 45,462 sĂ©ismes M3+ 14,825 sĂ©ismes M4+ 1,720 sĂ©ismes M5+ 122 sĂ©ismes M6+ 9 sĂ©ismes M7+ ...Lire la suite Filtrer par magnitudeTous Montrer carte interactive [rĂ©duire] [enlarger] Tous Cacher 4 sĂ©ismes non confirmĂ©s Showing most recent quakes and quakes magnitude ou plus 81 sur 824 sĂ©ismes, montrer plus Date et l'heureMagProfondeurVolcan le plus prĂšs distanceLieuDĂ©tailCarte dimanche, 28 aoĂ»t 2022 GMT 59 sĂ©ismes 28 aoĂ»t. 2022 1508 GMT29 aoĂ»t 2022 0308 GMT +12 km New Zealand Plus 28 aoĂ»t. 2022 1508 GMT28 aoĂ»t 2022 1808 GMT +3 km Greece 7 Km ENE From Amalias Plus 28 aoĂ»t. 2022 1502 GMT29 aoĂ»t 2022 0102 GMT +10?n/a Near Brisbane, Queensland, Australia preliminary Early Alert!Je l'ai senti! - 1 rapportPlus 28 aoĂ»t. 2022 1458 GMT29 aoĂ»t 2022 0258 GMT +12 km New Zealand Plus 28 aoĂ»t. 2022 1449 GMT28 aoĂ»t 2022 2249 GMT +8 km Philippines 064 Km S 71° E of Marihatag Surigao Del SurJe l'ai senti! Plus 28 aoĂ»t. 2022 1444 GMT28 aoĂ»t 2022 1044 GMT -4 km Northern Chile Plus 28 aoĂ»t. 2022 1435 GMT28 aoĂ»t 2022 2235 GMT +8 km Philippines 082 Km N 70° E of Hinatuan Surigao Del SurJe l'ai senti! Plus 28 aoĂ»t. 2022 1426 GMT29 aoĂ»t 2022 0226 GMT +12 km New Zealand Plus 28 aoĂ»t. 2022 1424 GMT28 aoĂ»t 2022 1024 GMT -4 km TARAPACA, CHILEJe l'ai senti! Plus 28 aoĂ»t. 2022 1401 GMT28 aoĂ»t 2022 2301 GMT +9 km Japan OFF NEMURO PENINSULAJe l'ai senti! Plus 28 aoĂ»t. 2022 1349 GMT28 aoĂ»t 2022 2149 GMT +8 km Indonesia Northern Molucca SeaJe l'ai senti! Plus 28 aoĂ»t. 2022 1347 GMT28 aoĂ»t 2022 0947 GMT -4 km Chile-Bolivia Border RegionJe l'ai senti! Plus 28 aoĂ»t. 2022 1343 GMT28 aoĂ»t 2022 2043 GMT +7 km Northern Sumatra, IndonesiaJe l'ai senti! Plus 28 aoĂ»t. 2022 1337 GMT28 aoĂ»t 2022 1937 GMT +6 kmNorth Indian OceanJe l'ai senti! Plus 28 aoĂ»t. 2022 1321 GMT28 aoĂ»t 2022 0121 GMT -12 km Fiji RegionJe l'ai senti! Plus 28 aoĂ»t. 2022 1303 GMT28 aoĂ»t 2022 1503 GMT +2 km Spain NE l'ai senti! - 21 rapportsPlus 28 aoĂ»t. 2022 1230 GMT28 aoĂ»t 2022 1930 GMT +7 km SOUTH OF JAVA, INDONESIAJe l'ai senti! Plus 28 aoĂ»t. 2022 1219 GMT28 aoĂ»t 2022 2319 GMT +11 km Russia Off East Coast of KamchatkaJe l'ai senti! Plus 28 aoĂ»t. 2022 1215 GMT28 aoĂ»t 2022 2015 GMT +8 km Philippines 097 Km N 82° E of Itbayat BatanesJe l'ai senti! Plus 28 aoĂ»t. 2022 1115 GMT28 aoĂ»t 2022 0815 GMT -3 km Jujuy Province, ArgentinaJe l'ai senti! Plus 28 aoĂ»t. 2022 1028 GMT28 aoĂ»t 2022 0528 GMT -5 km Mexico 23 Km Al Suroeste De Pueblo Nuevo, MĂ©xicoJe l'ai senti! Plus Montrer plus Estimation de l'Ă©nergie sismique combinĂ©e libĂ©rĂ©e x 1013 joules GWh, Ă©quivalent Ă  6986 tonnes de TNT ou bombes atomiques! about seismic energy Recherchez sĂ©ismes par jour, mois, annĂ©e ou plage de dates JourMonthYear Plage de dates Ă  Look up quakes! Try our free app! Statistiques sismiquesNombre de tremblements de terre en fonction du tempsDerniĂšres 24 heures Derniers 30 jours Derniers 90 jours Find out more about recent and past earthquakesNiveau d'activitĂ© sismique globaleQuel est le niveau d'activitĂ© sismique mondiale aujourd'hui par rapport au passĂ© ? DĂ©couvrez-le avec notre indicateur du niveau d'activitĂ© sismique mondiale!Check if seismic activity worldwide or in a specific area has increased or decreased!Read user reports of people who felt an earthquake in the last weekEarthquakes near VolcanoesOur world-wide map continuously detects shallow earthquakes near volcanoes. These could be early signs of unrest and often precede eruptions.
Lasolution Ă  ce puzzle est constituéÚ de 9 lettres et commence par la lettre E. CodyCross Solution pour LE CƒUR D'UN SÉISME de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle.
Chers fans de CodyCross Mots CroisĂ©s bienvenue sur notre site Vous trouverez la rĂ©ponse Ă  la question Point oĂč un sĂ©isme a Ă©tĂ© le plus intense . Cliquez sur le niveau requis dans la liste de cette page et nous n’ouvrirons ici que les rĂ©ponses correctes Ă  CodyCross Arts Culinaires. TĂ©lĂ©chargez ce jeu sur votre smartphone et faites exploser votre cerveau. Cette page de rĂ©ponses vous aidera Ă  passer le niveau nĂ©cessaire rapidement Ă  tout moment. Ci-dessous vous trouvez la rĂ©ponse pour Point oĂč un sĂ©isme a Ă©tĂ© le plus intense Point oĂč un sĂ©isme a Ă©tĂ© le plus intense Solution EPICENTRE Les autres questions que vous pouvez trouver ici CodyCross Arts culinaires Groupe 127 Grille 2 Solution et RĂ©ponse. UnvĂ©hicule endommagĂ© par un Ă©boulement causĂ© par le violent sĂ©isme du 27 juillet 2022 Ă  Bontoc, dans le nord des Philippines. Mountain Province Disaster Risk Reduction Management Office/AFP
La capitale indonĂ©sienne, Djakarta, a Ă©tĂ© frappĂ©e dans la nuit de mercredi Ă  jeudi par un puissant sĂ©isme qui a Ă©branlĂ© les immeubles et créé des scĂšnes de panique parmi la population, selon des tĂ©moins et les ignorait pour l'heure l'Ă©tendue des dĂ©gĂąts et le bilan humainde cette trĂšs violente secousse survenue au large de l'Ăźle l'institut amĂ©ricain de sismologie Ă  Boulder Colorado,le tremblement avait une magnitude prĂ©liminaire de 7,5 surl'Ă©chelle de Richter et s'est produit en mer Ă  291km de des sciences de la terre Ă  Strasbourg FranceĂ©valuait pour sa part la magnitude de ce sĂ©isme Ă  6, secousseDes habitants de Djakarta, ville de neuf millions d'Ăąmes, ontfait Ă©tat de bĂątiments grands et petits violemment secouĂ©s danstoute la capitale, distante de 110km de l'Ă©picentre du sĂ©isme qui aĂ©tĂ© ressenti de Sumatra, Ăźle indonĂ©sienne le plus Ă  l'ouest,jusqu'Ă  Bali. Compte tenu de la profondeur du tremblement, le risque de tsunamiapparaissait faible, selon Victor Sardina, du Centre d'alertePacifique au tsunami, basĂ© dans l'Etat amĂ©ricain de HawaĂŻ. Unesecousse d'une telle violence pourrait en revanche provoquer detrĂšs importants dĂ©gĂąts matĂ©riels, a-t-il profond qu'en dĂ©cembre 2004Le tremblement de terre qui avait dĂ©clenchĂ© le terrible tsunamidu 26 dĂ©cembre 2004 au large des cĂŽtes de Sumatra, coĂ»tant la vie Ă 131'000 habitants de la province d'Aceh, n'avait eu lieu qu'Ă  30kmde profondeur, selon les donnĂ©es de l'institut amĂ©ricain desismologie. "En 2004, l'Ă©picentre Ă©tait suffisamment proche pourrompre la surface du fond sous-marin, ce qui avait provoquĂ© untsunami", a expliquĂ© John Bellini, gĂ©ophysicien au centre deBoulder. L'IndonĂ©sie, le plus vaste archipel du monde, est sujette Ă  uneactivitĂ© sismique particuliĂšrement intense en raison de sa positiongĂ©ographique, situĂ©e sur le "Cercle de feu" du pacifique, arc devolcans encerclant le bassin pacifique. ap/afp/hof Etrange dĂ©ferlante meurtriĂšre en AlgĂ©rie Une puissante dĂ©ferlante d'origine inconnue a provoquĂ© vendredi la mort de 12 baigneurs sur une plage de Mostaganem, dans l'ouest algĂ©rien, a indiquĂ© mercredi la protection civile explication officielle n'a pu ĂȘtre obtenue quant Ă  l'origine de cette vague gĂ©ante, prĂ©sentĂ©e comme un mini-tsunami par des habitants de la ville contactĂ©s par l' son cĂŽtĂ©, le Pr Loth Bonatiro, spĂ©cialiste d'astronomie et de planĂ©tologie au Centre algĂ©rien de recherche en astronomie, astrophysique et gĂ©ophysique CRAAG, a estimĂ© que la dĂ©ferlante pourrait avoir Ă©tĂ© provoquĂ©e par une expĂ©rimentation d'armes conventionnelles en a affirmĂ© que la France, l'Italie ou l'Espagne procĂšdent de temps Ă  autre Ă  ce type d'expĂ©rimentations. "Il est cependant difficile de parler de tsunami, car un tel raz-de-marĂ©e est beaucoup plus large, alors que la vague de Mostaganem a touchĂ© une seule plage, la plage dite du Petit port", a-t-il secousse sismique d'une magnitude de 4,6 sur l'Ă©chelle ouverte de Richter avait Ă©tĂ© enregistrĂ©e vendredi Ă  21H08 en plein milieu du bassin mĂ©diterranĂ©en par le centre de Strasbourg, mais pas par le CRAAG. Cette absence d'enregistrement pourrait ĂȘtre due Ă  un dĂ©faut de fonctionnement des instruments de dĂ©tection du Centre, selon le Pr Loth Bonatiro.
\n \n\n\n \n point ou un seisme a ete le plus intense
Bienqu'Ă©tant la sixiĂšme Ă©conomie latino-amĂ©ricaine en termes de PIB nominal derriĂšre le BrĂ©sil, le Mexique, le Venezuela, l'Argentine et la Colombie, le Chili est considĂ©rĂ© aujourd’hui comme le pays le plus stable Ă©conomiquement d'AmĂ©rique latine [92]. Avec un passĂ© Ă©conomique dĂ©sastreux ayant connu de nombreuses dictatures, le pays est devenu de nos jours le « modĂšle Accueil ‱Ajouter une dĂ©finition ‱Dictionnaire ‱CODYCROSS ‱Contact ‱Anagramme Point oĂč un sĂ©isme a Ă©tĂ© le plus intense — Solutions pour Mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s Recherche - Solution Recherche - DĂ©finition © 2018-2019 Politique des cookies.
UnsĂ©isme d’une magnitude 7 a touchĂ© le nord des Philippines, ce 27 juillet. Ressenti jusqu’à la capitale, Manille, situĂ©e Ă  400km du nord du pays, le tremblement de terre a fait au moins quatre morts et 70 blessĂ©s.
Pour la premiĂšre fois depuis le sĂ©isme et le tsunami gĂ©ant qui ont dĂ©vastĂ©, le 11 mars 2011, le nord-est de l'archipel, le gouvernement japonais met en garde la population. Un sĂ©isme aussi puissant, de force 9 sur l'Ă©chelle ouverte de Richter, peut frapper Ă  tout moment le pays. Et plus particuliĂšrement ses mĂ©galopoles s'Ă©tendant sur plus de 600 km entre Tokyo, Nagoya et Osaka. Le gouvernement laisse ses scientifiques rĂ©viser Ă  la hausse leurs prĂ©visions les plus pessimistes en matiĂšre de tsunami dans cette rĂ©gion surpeuplĂ©e. Avec notre correspondant Ă  Tokyo, FrĂ©dĂ©ric CharlesLa chaĂźne de tĂ©lĂ©vision japonaise, NHK, a diffusĂ© hier soir la premiĂšre partie d’un documentaire, montrant Ă  quel point l’activitĂ© sismique au Japon depuis un an est intense. Elle a Ă©tĂ© multipliĂ©e par cinq et a modifiĂ© les fonds scientifiques interrogĂ©s travaillent presque tous pour le centre gouvernemental sur les sĂ©ismes. Et pour la premiĂšre fois, le gouvernement les laisse dĂ©voiler leurs prĂ©visions les plus sombres. Ils avouent avoir sous-estimĂ© la puissance de la secousse et la hauteur de la vague qui dĂ©truirait tout ou partie des mĂ©galopoles japonaises. Aujourd’hui, ils Ă©valuent Ă  9 sur l’échelle de Richter, contre 7 un peu plus tĂŽt, l’intensitĂ© d’un sĂ©isme qui dĂ©truirait Tokyo, comme en 2003, les mĂȘmes scientifiques pensaient qu’aucun endroit du Japon ne pourrait ĂȘtre frappĂ© par une vague de plus de vingt mĂštres de hauteur. Aujourd’hui, ils Ă©voquent un tsunami de trente-cinq mĂštres. Cette vague qui pourrait frapper la centrale nuclĂ©aire de Hamaoka, au sud de Tokyo, atteindrait vingt mĂštres de hauteur, et passerait par-dessus le mur anti-tsunami de dix-huit mĂštres, en cours de construction autour de la centrale. .
  • yjkluwm4ue.pages.dev/400
  • yjkluwm4ue.pages.dev/407
  • yjkluwm4ue.pages.dev/473
  • yjkluwm4ue.pages.dev/497
  • yjkluwm4ue.pages.dev/144
  • yjkluwm4ue.pages.dev/87
  • yjkluwm4ue.pages.dev/338
  • yjkluwm4ue.pages.dev/44
  • point ou un seisme a ete le plus intense