migrantsNantes, Collectif de soutien de l’EHESS aux sans-papiers et aux migrant-es, Collectif de soutien aux sans-papiers du Trégor, Collectif Urgence Welcome de Mulhouse, Collectif Vérité et Justice pour Lamine Dieng, Collectif Vigilance pour les Droits des Etrangers 12ème, Comité d'Accueil 72, Comité Adama, CADTM, CCFD - Terre solidaire 93, CDKF, Comegas, Comité de
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2507/2016 – 05H30 Rennes (Breizh-info.com) - A Bain-de-Bretagne, une commune du sud de l'Ille-et-Vilaine, un collectif de soutien aux migrants se retrouve
Publié le 04/08/2018 à 1758 , mis à jour à 2124 Environ 500 personnes ont manifesté samedi à Nantes pour soutenir les migrants expulsés fin juillet d'un square du centre-ville, puis d'un ex-lycée où des associations leur venant en aide les avaient installés, a constaté l'AFP. Le cortège, composé de migrants et de militants, a défilé dans le centre-ville à l'appel du collectif nantais de soutien aux migrants, sous un soleil de plomb. "Nous ne sommes pas d'accord avec la loi Dublin", "Osons la fraternité" ou encore "Papiers et maisons", pouvait-on lire sur de larges banderoles. La manifestation, partie du square Daviais, où un campement de plusieurs centaines de migrants avait été évacué fin juillet mais où des tentes ont de nouveau été installées, s'est déroulée sans incident jusqu'au Miroir d'eau. Le collectif dénonce "les expulsions des lieux réquisitionnés par les associations", "les conditions sanitaires dans lesquelles ces populations vivent, faute d'équipements publics mis à leur disposition et de distribution d'eau potable malgré la canicule", ainsi que "l'absence de propositions de relogement". Il réclame l'arrêt des expulsions et la mise à l'abri des migrants présents à Nantes. Le 23 juillet, 455 migrants, essentiellement originaires du Soudan et d'Érythrée, avaient été évacués du square Daviais à la demande de la préfecture. Le campement y était installé depuis plus d'un mois, dans une situation sanitaire préoccupante, avec un seul point d'eau et un seul sanitaire. La présence de rats et des cas de gale avaient été signalés. "147 personnes, les plus vulnérables, ont pu se voir proposer un hébergement à cette occasion", a précisé la mairie de Nantes. Jeudi, quelque 261 migrants ont été évacués de l'ex-lycée qu'ils avaient occupé après avoir été expulsés une première fois, cette fois à la demande de la mairie. "Il est impossible que le lycée Leloup-Bouhier, qui fait actuellement l'objet de travaux en vue de sa transformation en école, soit occupé", avait précisé Aïcha Bassal, adjointe à la mairie de Nantes, dans un communiqué. Le campement du square Daviais, qui ne comptait qu'une poignée de tentes mi-juin, s'est agrandi après les évacuations successives de deux bâtiments privés squattés, et au gré d'arrivées depuis l'Italie ou l'Espagne de réfugiés, essentiellement soudanais et érythréens. Le département de Loire-Atlantique, et Nantes en particulier, sont confrontés à "une évolution significative des flux depuis fin février", selon les autorités. Les demandes d'asile ont ainsi augmenté de 28% en un an, là où d'autres grandes villes ont enregistré des baisses.
C'est un soulagement énorme de savoir que c'est fini", a témoigné François Prochasson, du collectif de soutien aux migrants, rappelant que la
Publié le 07/03/2019 à 1448, Mis à jour le 07/03/2019 à 1450 Le sort d'environ 250 migrants, installés depuis quatre mois à Nantes dans un gymnase et une maison dans des conditions précaires dénoncées par des associations, est menacé par une demande d'expulsion, a appris l'AFP aujourd'hui en marge d'une audience. La justice rendra deux décisions successives, les 14 et 28 lire aussiMigrants à Nantes l'État ne paiera pas"Il y a toujours des enfants, des femmes et évidemment beaucoup d'hommes dans ce gymnase les mettre à la rue de façon sèche serait une vraie catastrophe humanitaire", a déclaré François Prochasson, membre du collectif de soutien aux migrants, en marge d'une audience qui se tenait ce octobre, une soixantaine de demandeurs d'asile avaient été délogés d'un square de Nantes, et avaient trouvé refuge dans le gymnase d'un lycée catholique inoccupé, propriété du diocèse, dans la commune voisine de Saint-Herblain. Les effectifs avaient gonflé et quelques familles étaient également logées dans une maison, portant à environ 250 le nombre de migrants pris en charge par les a fait suite à deux assignations en référé d'expulsion, déposées par le diocèse et le promoteur immobilier propriétaire de la bâtisse. "On demande que la ville de Nantes réquisitionne des bâtiments vides pour mettre les personnes à l'abri" indépendamment de leur situation administrative, a déclaré Christophe Jouin, président de "L'autre cantine", collectif également engagé dans ce dossier, qui dénonce le "ping-pong entre les institutions". Les bénévoles craignent que les décisions de la justice, qui seront rendues le 14 mars pour la maison et le 28 mars pour le gymnase, conduisent à des expulsions sans délai, fragilisant la prise en charge de ces personnes et leurs chances de AUSSI » Nantes le campement de migrants en centre-ville a été évacué
Collectifde soutien aux migrants 44 Collectif de soutien de l’EHESS aux sans-papiers et aux migrant-e-s Collectif du Cercle de silence de Poitiers Collectif Justice & Libertés Collectif Lille nouvelle jungle Collectif Loire (42) "Pour que personne ne dorme à la rue" Collectif Migrants Paris 19ème Collectif Romeurope du Val Maubuée Collectif Saint-Lois d’Aide aux Migrants Collectif
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Enaoût 2014, après plusieurs expulsions de squats - la dernière, en juillet 2014, très violente - quelques dizaines de migrants majeurs célibataires ont « squaté », avec l'aide du collectif, un bâtiment vide depuis 7 ans : le presbytère de Doulon. L'évêché a obtenu des pouvoirs publics qu'ils négocient avec le collectif l'hébergement des occupants du squat en situation
Après leur évacuation du square Daviais, dans le centre-ville de Nantes, lundi, près de 300 migrants ont trouvé refuge dans un ancien lycée. La préfecture a reconnu qu'elle n’avait pas de solution d’hébergement pour eux. Ils étaient 450 et avaient été évacués lundi d'un campement installé dans un square du centre de Nantes. Le lendemain, environ 300 d’entre eux, essentiellement originaires du Soudan et d'Érythrée, sans solution d'hébergement, ont passé la nuit dans un ancien lycée appartenant à la ville. Ce dernier avait été réquisitionné par des collectifs leur venant en préfecture de Loire-Atlantique a annoncé avoir mis à l'abri lundi soir 147 personnes, "les plus vulnérables", dont 122 sont des demandeurs d'asile. Parmi elles, 87 personnes ont été conduites vers un lieu d'hébergement d'urgence dans la région Pays de la Loire et 60 ont été orientées vers des places d'hébergement mises à disposition par la ville de Nantes sous la forme de baux précaires, détaille la préfecture dans un communiqué. Au total, près de 300 personnes se retrouvaient donc sans solutions. "Un accompagnement a été proposé à chacune des personnes pour lesquelles aucune solution d'hébergement n'a pu être trouvée dans l'immédiat", confesse la collectifs et des associations venant en aide aux migrants ont indiqué avoir réquisitionné cet ancien lycée, propriété de la ville et situé à l'ouest de Nantes, pour "installer ceux auxquels l'État n'avait proposé aucune solution d'hébergement". La mairie a confirmé cette occupation à l'AFP."Sans tente et sans matelas, il était hors de question que ces migrants dorment une nuit dehors", a expliqué François Prochasson, membre d'un collectif de soutien aux migrants. L'ancien lycée dispose "d'un gymnase et de quelques salles", mais il s'agit "d'une mise à l'abri très temporaire" de migrants "complètement désemparés", a-t-il ajouté. Les ONG craignent une nouvelle expulsion "dans les 48 heures".
Dispositifd’exposition mobile pour le collectif de soutien aux migrants 44. NANTES, FRANCE. Catadrone, avec Leopold Banchini. Exposition d’un bar à anguilles dans la vitrine 21 du Recyclart. BRUXELLES, BELGIQUE. Carte de Voeux, Expression des voeux de l’ENSA Nantes à tous ses partenaires pour l’année 2018. NANTES, FRANCE . SuperBankal, avec Collectif Vous. Mobilier
la préfète est hors la loi Les droits fondamentaux boire, manger, se protéger du chaud et du froid, se laver… ne sont pas respectés dans notre ville. 400 migrants survivent dans un campement indigne au centre de Nantes 1974 personnes vivent en bidonville 4200 personnes sans domicile ont fait une demande d’hébergement d’urgence en Loire-Atlantique en 2016, le 115 ne dispose que de 25 places par jour !les réponses de la mairie Malgré les déclarations de Johanna Rolland quand on dit liberté, égalité, fraternité, c’est bien ; quand on le traduit dans les actes c’est mieux », les réponses de la mairie ne sont pas à la hauteur des besoins que réclame depuis des années la crise humanitaire qui se déroule aujourd’hui sous nos yeux. un élan de solidarité Un élan de solidarité à l’égard de ces populations en détresse s’est construit à Nantes. Il regroupe des associations, des syndicats et de nombreux citoyens et citoyennes qui refusent d’accepter cette situation particulièrement inhumaine, entretenue par les pouvoirs publics. l’humanité de demain se construit avec l’accueil d’aujourd’hui toutes et tous à la manifestation le 22 septembre à 15H, Square Daviais, pour dénoncer l’insupportable et exiger de véritables solutions, dignes et pérennes A l’appel des associations et organisations Afrique Loire, ASSAMLA, L’autre cantine, CIMADE, CSF, CSPN, Collectif de soutien aux migrants 44, DAL, Emmaüs, Intersyndicale CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA, LDH, Logis Saint-Jean, Médecins du Monde, RESF, UJM44… liste en cours
Maisondu peuple de Nantes Collectif de Soutien Migrants Nantes 19 juin · À l’occasion de la fête de la musique, les organisations membres de l’inter collectifs personne à la rue organise une fête de la solidarité et de l’accueil inconditionnel Mar., 21 juin Fête de la musique et de la solidarité Nantes, France 125 personnes intéressées 7 Commenter
Soirée de soutien aux jeunes migrants à Nantes Lundi 13 mai 2019 - à partir de 19h - Stéréolux Lundi 13 mai 2019 - à partir de 19hStéréolux - Nantes Les jeunes migrantes isolées, séparées de tout soutien familial, constituent une population particulièrement exposée à la précarité. Suite à une première édition réussie en 2017, le collectif Philomélos se propose de réunir à nouveau des fonds pour soutenir ce public, lors d’une soirée à Stéréolux, le lundi 13 mai à partir de 19h. Les bénéfices de cet événement seront intégralement reversés à des associations œuvrant localement à fournir accueil, hébergement, scolarisation, accès aux soins médicaux ou aide juridique aux jeunes migrants isolés. L'élan de solidarité se double d'un désir de cordialité et de plaisir partagé qui conduit à une programmation sans frontière de genre et volontiers inédite. De nombreux artistes ont souhaité s’impliquer en participant à cet événement Le Spectre d'Ottokar Fanfare des Balkans Guillaume Hazebrouck, Louis Sclavis, Julien Stella Jazz Vitor Garbelotto, Héléna Noguerra, Geoffroy Tamisier, Gabor Turi Bossa-nova Ulysse Aragau, Lucie Berthomier, Ambra Senatore Musique classique et danse improvisée Philippe Katerine & François Ripoche Improvisation Malted Milk Soul Album photoPrésentation du projet Programmation 2019 Les partenaires de la soirée
collectifde soutien aux migrants de Millau Collectif de soutien aux réfugiés d’Appoigny Collectif de Soutien aux Réfugiés et Sans Abri de la Confluence Collectif de soutien de l’EHESS aux sans papiers et aux migrant-es Collectif des associations citoyennes Collectif des Associations Citoyennes de l’Est Val d’Oise (CAC-EVO) Collectif des sans papiers de Livry
Le 23 juillet, les migrants avaient été évacués du square Daviais de Nantes. Une partie d'entre eux avaient trouvé refuge dans un ex-lycée abandonné. - Sébastien SALOM GOMIS / AFPIls occupaient le bâtiment à l'abandon après avoir été expulsés d'un square en juillet. La mairie explique que l'ex-lycée doit subir des travaux pour devenir une école, et doit donc être 250 migrants ont été évacués par les forces de l'ordre jeudi matin à Nantes d'un ex-lycée qu'ils occupaient après avoir été expulsés fin juillet d'un square du centre de Nantes, ont déclaré la mairie et des associations de soutien aux originaires du Soudan et d'Érythrée, plus de 450 migrants avaient été évacuées le 23 juillet à la demande de la préfecture, du square Daviais, où un campement était installé depuis plus d'un mois, en plein cœur de Nantes. La mairie de la ville précise jeudi que "147 personnes, les plus vulnérables, ont pu se voir proposer un hébergement à cette occasion".Dans un communiqué, le collectif de soutien aux migrants de Nantes explique que les associations venues en aide aux migrants avaient "décidé collectivement de les installer dans l'ancien lycée Leloup-Bouyer, propriété de la ville inoccupée depuis longtemps et ouverte à tout vent". L'ex-lycée a été à son tour évacué jeudi matin par les forces de l'ordre, cette fois à la demande de la mairie de doit être transformé en écoleDans un communiqué, Aïcha Bassal, adjointe à la mairie, déclare que "plus de 500 personnes migrantes sont actuellement hébergées directement ou indirectement par la Ville de Nantes. Toutefois, il est impossible que le lycée Leloup-Bouhier, qui fait actuellement l'objet de travaux en vue de sa transformation en école, soit occupé", ajoutant que "la ville de Nantes doit ouvrir cette nouvelle école à la rentrée 2020, les travaux doivent pouvoir se dérouler selon le calendrier prévu""Lundi 30 juillet, un huissier est venu signifier officiellement que les occupants devaient quitter les lieux. Ce matin, les forces de l'ordre sont intervenues", indique la mairie."L'expulsion s'est faite sans leur laisser le temps de récupérer leurs effets personnels, ils sont de nouveau à la rue sans solution pour ce soir où dormir", a expliqué à l'Agence France Presse AFP François Prochasson, du collectif de soutien aux quelque 250 migrants évacués jeudi se sont regroupés au square d'où ils avaient été expulsés le 23 juillet. Ils ont rejoint une centaine d'autres migrants qui y avaient déjà trouvé refuge dès le lendemain de cette première évacuation.
Aprèsl'évacuation de leur camp lundi à Nantes, 300 migrants se sont installés dans un ex-lycée et 147 autres ont reçu des solutions d'hébergement.
Quel sort leur sera réservé ? Les migrants du gymnase Jeanne-Bernard devront attendre les deux décisions de justice qui seront rendues les 14 et 28 mars prochain. Ils sont environ 250 migrants installés depuis quatre mois à Saint-Herblain, près de Nantes, dans le gymnase de l'ancien lycée Jeanne-Bernard. Ils vivent là dans des conditions précaires dénoncées par des associations et sont menacés par une demande d'expulsion. "Il y a toujours des enfants, des femmes et évidemment beaucoup d'hommes dans ce gymnase les mettre à la rue de façon sèche serait une vraie catastrophe humanitaire", estime François Prochasson, membre du collectif de soutien aux migrants, en marge d'une audience qui se tenait ce jeudi matin. Fin octobre, une soixantaine de demandeurs d'asile avaient été délogés du square Vertais, dans le sud de Nantes. Ils avaient trouvé refuge dans le gymnase d'un lycée catholique inoccupé, propriété du diocèse, dans la commune voisine de Saint-Herblain. À ce sujet, la rédaction vous recommande Désormais, ils sont entre 200 et 250 migrants installés dans le gymnase auxquels il faut ajouter quelques familles, au total 19 femmes et enfants, logées dans une de ce jeudi faisait suite à deux assignations en référé d'expulsion, déposées par le diocèse et le promoteur immobilier propriétaire de la bâtisse. "On demande que la ville de Nantes réquisitionne des bâtiments vides pour mettre les personnes à l'abri" indépendamment de leur situation administrative, a déclaré Christophe Jouin, président de "L'autre cantine", collectif également engagé dans ce dossier, qui dénonce le "ping-pong entre les institutions". Tout le monde est d'accord pour dire que les conditions d'hébergement ne sont pas satisfaisantes - Stéphane ValléeC'est à l'État de prendre en charge toutes ces personnes-là et d'assumer ses responsabilités en la matière", a souligné Me Stéphane Vallée, l'avocat des demandeurs d'asile. Le tribunal rendra sa décision le 14 mars pour la maison et le 28 mars pour le gymnase. Les bénévoles craignent qu'elles conduisent à des expulsions sans délai, fragilisant la prise en charge des migrants et leurs chances de relogement.
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collectif de soutien aux migrants nantes